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 Biographie Un petit Garçon devenu grand

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Anakin
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Anakin


Messages : 460
Date d'inscription : 20/04/2008

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MessageSujet: Biographie Un petit Garçon devenu grand   Biographie Un petit Garçon devenu grand EmptyJeu 26 Juin - 22:18

CHAPITRE 1ER
MON ENFANCE AU PAYS



je suis né le 14 janvier 1432 en campagne Fribourgeoise. issu d'un milieux aisé mon Père Grégoire Louis Vador né en 1403 est marchand de tissus, toujours en voyage aussi loin que remonte mes souvenirs j'ai grandis surtout avec ma Mère Luce Catherine Vador Brénire née en 1403 ainsi que mes 4 frères et sœur. Catherine née en 1421, Cougar né en 1422, et Bastien mon frère jumeaux né 2h avent moi en 1432. enfin Nicolas né en 1438
nous habitions tous dans la maison familiales en bordure de forêt. un terrain de jeux idéale pour Bastien et moi. à cette époque nous étions inséparable. jamais personne pouvait nous séparer.
à la fin de l'année 1438 Catherine ma sœur quitta la maison pour habiter Lausanne ou elle se maria avec un riche Bourgeois de 15 ans son ainé, je me souviens que ce gros monsieur sans grande éducation me faisait une peur terrible, bien plus tard j'ai appris de part ma mère que ce mariage fut arranger par mon père et que Catherine ne pu si soustraire. en cette fin de cette même année Nicolas partit pour Paris dans ce merveilleux royaume de France pour entrer à l'université. depuis ce jours je ne l'ai plus revu bien qu'il nous s'écrivit régulièrement. dès ce moment la, à force de nous faire partager sa vie là-bas je me suis bien juré qu'un jours moi aussi je partirai pour La France.
en février 1439 par un hiver particulièrement rigoureux Catherine vint nous rendre visite seul. mon beau frère nous apprit elle venais de succombé à la Variole.
elle avait hérité d'une grande fortune ainsi que plusieurs commerce spécialisé dans la menuiserie de luxe.

dans le milieu de l'anée 1440 ma mère tomba malade, bien que les medecins la voyait condamnée elle en réchapa miraculeusement, mais elle ne fut plus la même dès lors, à moitié handicapée, elle ne pu s'occuper pleinement de nous. Bastien fut envoyer chez mon Oncle matérnelle près d'Uri. Moi même je fut receuilli par mon Oncle Comte d'Oron Veuf de La soeur de mon père. depuis toujours je fut son préferer.
Quand à Cougar il resta près de Mère pour veiller sur elle en compagnie de catherine qui est revenu s'installée chez nous.
Mon oncle résidea dans un somptueux chateaux, il m'y aceuilli en novembre de cette même année.
bien que notre maison de campagne me paraissait grande, il n'en était rien comparer au ce merveilleux château richement décorer.
je na'ai jamais su combien de personne sérvait mon Oncle la seul chose que je me rapelle c'est que 6 femme de chambre était à mon service exclusif.
une chose bien nouvelle pour moi. malgrès les richesses de mes parent nous n'avions point de serviteur.En apparence j'était heureux. mais la séparation brutal d'avec bastien fut douloureuse.
les année filèrent très vite, 15 ans de ma vie ce passa au chateaux entourer de serviteurs, j'avait mon professeur personnelle qui m'enseigna pendant 6h 6 jours sur 7 l'art, l'histoire, l'écriture mais surtout l'art de paraitre en societé, de nombreux banquet mondain se succéda prèsque chaque semaine. je m'efforca de faire bonne impression pour faire plaisir à mon oncle ce qui fut réussi pour sont plus grand plaisir.sans héritié directe il avait dans l'idée de me faire devenir à terme son seul sucesseur de ses fortunes.

je croit que c'est dans les année 1452 que je rencontra pour la première fois Chlotilde de Birsnac. une vielle dame d'une conquantaine d'année au moin. une Comtesse à ce qu'il. au début je n'y preta guère attention car un grand nombre de personnes du haut rang défilèrent continuellement au chateaux. l'année suivante ses séjours chez nous se faisait bien plus régulier. je pensa rapidement que mon oncle y était très attacher car ils passa tous les deux de longue heures enférmer dans son bureau à parler de je ne sait quoi. lors des repas cette dame pas si méchante dans le fond, tenais conversation presque exclusivement avec moi. je me senti coupable pour mon oncle de monopolisé ainsi la Comtesse, bien que cela ne lui paru pas déranger bien au contraire il resta la à nous écouté sans ce détaché de son sourire.
à l'aube de mes 23 ans mon oncle voulu m'entretenir au sujet de mon avenir.
ce jours la de mai 1455 je m'en rapelle comme si c'était hier. il me fit entrer dans son bureau. il me montra son testament. Il me désigna seul héritié de toute sa fortune ainsi que ces hotêls particulier châteaux et tous se qui s'y trouve. je n'en crus pas mes yeux. mais....
oui il y a un mais plus bas je vit un paragraphe qui m'horrifia. Une seul condition pour touché l'héritage qui ferai rêver grand nombre de personnes. la conditions etait d'épouser la Comtesse Chlotide de Birnac. cette vieille dame de bonne naissance même plus agée que mon oncle. Après de nombreux mois ou cette femme vint réulièrement au chateaux, moi qui était heureux que mon Oncle désidea enfin de quitter le deuil de ma tante, et pourquoi pas ce remarier avec dame Chlotilde avec qui il semblais si bien s'entendre. Toutes mes illusions d'avenir ici venais de s'éffondrer. au moment de quiter la pièce il me rattrapa fermement par l'épaule en me menacant de lui rembourser15 années de logement chez lui. Ce soir la ce fut la première fois que je montra une parcelle violente de moi même que je ne connaisai même pas. J'ai de l'avoir frapper mais il m'avait mis hors de moi. Il m'hurla des chose que la décence m'interdit de citer.
je m'enferma dans mes appartements je fit mes adieux à mes sevante qui était devenue de bonne amie, toujours la pour moi et pas seulement parce qu'elle était payé pour cela.
et c'est dans la nuit que je quitta ma demheur qui m'a abrité pendant 15 années. je regagna la maion de mes parents.
Par grand miracle je vit mon père,j'y resta quelques jours en leurs compagnie.
Fin juin un messager vint à la résidence. Il apporta une missive de mon oncle. Dans cette dérnière il reclama une somme collossale en dédomagement de 15 année d'hébergement, à moin bien sur que j'épouse cette femme. Je n'ai jamais su pourquoi il à tennu tant à ce mariage sans grand interet pour lui en apparence, probablement que jamais je le saurais, et la tous à basculer Grégoire Ce père absent qui me tint se discour.
" Fils jamais nous aurons les moyens de lui payé la somme qu'il réclame, alors pour la Famille et notre Honneur vous devez épouser la Comtesse de Birsnac."
Ce fut la goutte d'eau après une violent disputte je quitta la maison familliale.
Mère a bien essayer de me retenir. mais je n'ai plus ma place ici.
Cougar ayant quitter la maison quelques années auparavent, mes parent se retrouva seul. je m'éloigna sans me retourner.
une page se tourne, je n'avait que quelques sous en poche et partit sur les routes et décida de quitté la confédération direction Le Royaume de France.

en quittant mon Pays j'ai renoncer à Titre et fortune contre ma libérté mais je me suis jurer que c'est par moi même que j'obtiendrai un jour ma noblesse.




CHAPITRE 2EME
UN FABULEUX VOYAGE


Le voyage promis d'être mouvementer car je n'avait que rarement quitter ma campagne, sauf pour aller faire quelques dépenses à la ville voisine.
Au bout de quelques heures j'arrivai au bord du lac séparant les deux pays.
Je voulu demander à un pêcheur de m'emmener pour Genève, afin de ne pas trop me fatigué à faire le trajet à pied, mais a ce moment la aucun d'entre eux ne voulu me prendre ou n'allai pas dans la bonne direction. Alors je longea une route le long de ce merveilleux lac, au bout d'un certain temps, j'aperçus un châteaux qui se dressa droit devant moi, une merveille d'architecture.
Tout un petit monde s'afféra à sa tâche je m'approcha pas trop et continua mon chemin avent d'attirer l'attention sur moi. Je repris la route, derrière moi un carrosse se rapprocha à vive allure.
Je m'écartai pour le laisser passé, mais il s'arrêta devant moi. Une femme apparu par la fenêtre, je n'en cru pas mes yeux il s'agissait de Catherine ma sœur. Elle me fit monté, elle se rendait par ma plus grande chance à Genève, dans l'une de ses entreprise de textile.
Sur la route je lui raconta ma présence ici, ainsi que tout ce qu'il s'était passé, le mariage avec cette vieille dame Comtesse de sont état, la dispute avec Père.
Pour avoir connu elle aussi un mariage forcé avec son feu mari elle me comprenais, même si elle eu le courage ou la faiblesse d'accepter. Sauf qu'elle avait eu de la chance que sont époux ne vécu qu'a peine une année après ce mariage, j'appris seulement à ce moment la que c'était un mari violent et alcoolique qui a presque mis en banqueroute la majorité des entreprise. Mais ma chère sœur a repris les rennes avec une main de maitre a gagné en prospérité.
Nous arrivâmes à Genève en début de soirée. Elle me conduisit chez elle et m'offrit l'hospitalité pour la nuit. Nous soupions tous les deux en partageant des souvenirs de jeunesse, c'est la d'ailleurs que je lui appris ma destination. Le Berry Duché conseillé par mon Frère Nicolas. Comme j'allai faire une bonne partie de la route à pied Catherine me conseilla de changer de vêtement, car avec ceux que je portait je ressemblais trop à un jeune noble perdu dans la campagne et risquai à tous moment de me faire attaque sur les route peu sur du Royaume.
Le lendemain je lui fit mes adieux et endossa des vêtements d'un vrai vagabond.
Elle m'accompagna auprès d'une station relais d'où je pris une diligence.
Je sait plus combien de temps ça m'a pris mais très rapidement je fut arriver à Dijon. Plus que quelques jours et je serrai dans le Berry.
Comme j'avais dormis une partie du trajet je décida de ne pas passé la nuit ici. J'allais juste me restaurer dans un tripot du coin et boire un coup. On m'invita à joué une partie de cartes contre de l'argent. Ce soir la j'avais gagné au moins 300 écus. Au grand désespoir de mes adversaires de la soirée.
Et c'est de nuit que je repris les chemins à vive allure. Il est vrai que je transportait une véritable fortune entre ce que j'avais déjà donné par ma chère sœur et ce que je venais de gagné ce soir.
1500 écus était dans une bourse cousu dans la doublure de mes braies. Et les 300 autre était accroché à ma ceinture.
Un Gros orage éclata subitement. Bien peu rassuré me trouvent dans une forêt épaisse et sombre.
Tremper jusque au os et frigorifié je continua ma route.
Du bruit attira mon attention derrière moi. Trois hommes surgirent subitement je reconnu l'un deux avec qui j'avais jouer le soir même à la taverne., j'eus juste le temps de dégainer mon épées pour me défendre. Mais le combat était bien inégal. Je tenu bon un long moment esquivent plus que j'attaquais. D'un saut rapide j'atteignis l'un de mes adversaires en plein cœur. Pendait qu'il s'effondrait à mes pied . Une fulgurante douleur me paralysa le corps . Je venais de recevoir un coup d'épée dans le ventre. Le sang coulais et je m'effondra sur le sol trempé de la forêt.
Ce n'est que plusieurs jours plus tard que je me réveilla sur une paillasse. Je ne savait pas du tout ou je me trouvait. C'était une bicoque délabrée. Je me leva et me dirigea dans la pièce à côté d'où j'entendais des bruits de conversation. Un couple très âgé était assis à une table au milieu de la pièce. Il m'offrit un solide repas et j'appris que c'est l'homme nommé Charles qui m'a trouver gisant inconscient à moitié mort. Si il n'avait pas été là je n'aurais pas survécu. Toute mes affaire avait disparue. Épée vivre. Et bien sur les 300 écus. Par la plus grande chance la bourse cousue dans mes braie enfin ce qu'il en restait était toujours là, ma chemise trouée et couverte de sang était inutilisable. Je regardai ma blessure une profonde cicatrice que je garderai toute ma vie se tenais sur le côté droite. A un centimètre près et je ne serais plus la..
le repas que je venais de prendre et les 3 miches de pain que ce charment couple venais de m'offrir fut leurs dernier vivre. Je pris dans ma bourse 50 écus discrètement et enveloppa ma bourse dans un mouchoir en leur demandant de ne point l'ouvrir avent mon départ. Je repris la route en les remerciant de ce qu'il avait fait pour moi. Jamais je ne les oublierai.



CHAPITRE DERNIER
UNE NOUVELLE VIE QUI COMMENCE
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